Les jeux vidéo se féminisent... partiellement
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drfloyd
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Les jeux vidéo se féminisent... partiellement
Voici un article du Monde concernant la féminisation du jeux vidéo :
"Assassin's Creed Syndicate", neuvième épisode de la série d'Ubisoft, propose pour la première fois un casting paritaire. ASSASSIN'S CREED SYNDICATE
Le jeu de tir d’Activision (Call of Duty) permet également d’incarner une femme soldat, même si celle-ci n’est pas visible (vue subjective oblige), que des erreurs d’accord persistent dans les textes et que l’écriture reste stéréotypée. Interrogé par IGN, Jason Blundell, directeur du mode scénario, se justifie par une pirouette cinématographique.
L’industrie du jeu vidéo évolue depuis le début des années 2010, influencée, notamment, par les vidéos critiques de la blogueuse féministe Anita Sarkeesian et les créations du studio Bioware. Ce dernier est notamment à l’origine de Mass Effect, saga de jeu de rôle space-opera, une des premières à proposer le choix du sexe et de l’orientation sexuelle.
La série Mass Effect, pionnière des représentations progressistes, sera de retour en 2016.MASS EFFECT
« C’est un monde où – en dépit des problèmes avec les Reapers [une race extraterrestre fictive] – ces différents types de relations ou de romances, qu’elles soient gays ou lesbiennes, sont juste traitées comme n’importe quelle autre relation dans cet univers », se félicitait dès 2012 son scénariste principal Mac Walters dans les colonnes du Financial Post. L’un des jeux les plus attendus de 2016, Mass Effect Andromeda, devrait confirmer cette orientation, après un troisième épisode qui avait notamment mis en scène un personnage transsexuel très travaillé.
Ainsi le 1er avril, en guise de poisson, le studio Destructive Creations accusait sur les réseaux sociaux les « SJW » (« socialjustice warriors », terme péjoratif désignant les journalistes et militants féministes et LGBT) d’avoir porté plainte contre son fondateur pour apologie de la violence. Le studio polonais, auteur de Hatred, n’a jamais caché sa sympathie pour le GamerGate. A sa sortie en juin, son jeu, un simulateur de massacre cynique et antisocial, a été propulsé à la première place des ventes sur la plateforme Steam, essentiellement soutenu par cette même communauté, sous couvert d’une défense jusqu’au-boutiste de la liberté artistique.
Dans Gynophobia, les femmes sont représentées comme des objets interdits ou des monstres fantasmagoriques à éliminer. GYNOPHOBIA
Quoique moins médiatisés, d’autres jeux ont tenté de surfer sur la polémique, à l’image du glauque et confus Gynophobia, jeu de tir à la Doom dans lequel le héros, pour guérir de sa peur de l’autre sexe, doit abattre dans son cauchemar femmes zombies et femmes araignées… avant de se réveiller, dans un final accablant de médiocrité, auprès d’une femme à forte poitrine pour symboliser sa guérison.
« Quand j’ai décidé de faire Gynophobia, j’étais bien conscient que le thème était provocateur, mais j’aimais tellement l’idée que j’ai décidé de le réaliser quand même. […] Je suis favorable à la liberté d’expression, et j’estime que celle-ci doit inclure la liberté d’offenser », explique par courriel au Monde son auteur, le jeune Ukrainien Andrii Vintsevych, reprenant à son compte un argumentaire classique des antiféministes, tout en se défendant de toute misogynie :
Fiona, un des deux personnages principaux de "Tales of the Borderlands", incarne un nouveau modèle d'héroïne, indépendante et éloignée des clichés masculins. TALES OF THE BORDERLANDS
La question s’était déjà posée chez Gearbox à l’occasion du développement de Borderlands – The Pre-Sequels (jeu de tir).« J’avais été irrité par le déséquilibre homme-femme, et tout le monde dans l’équipe s’était accordé pour dire qu’il nous fallait une héroïne supplémentaire », expliquait-il fin 2014 au site féministe The Marysue.
Battant en brèche les représentations hypersexuées de Lara Croft (Tomb Raider) ou de Samus Aran (Metroid) en petite culotte, le jeu d’aventure français Life is Strange a même créé une héroïne humaine et rêveuse, Maxine, pétrie d’interrogations communes. Une orientation scénaristique qui avait été choisie avant l’explosion du GamerGate, assure le studio parisien à son origine, Dontnod Entertainment.
"Life is Strange", jeu d'enquête dans un campus californien, met en scène des jeunes femmes plus proches du cinéma américain indépendant que des caricatures hollywoodiennes. LIFE IS STRANGE
« On ne se pose pas la question pour un livre ou un film. J’ai trouvé ce débat vraiment déplacé. Quelle est la meilleure façon de raconter une histoire ? Pour nous, c’était Maxine », exposait Raoul Barbet, coréalisateur du jeu, interrogé par Le Monde en début d’année. Ce qui n’empêche pas le titre d’évoquer le sexisme sur les campus, et l’antiféminisme chez les jeunes – à l’image de ce numéro anonyme qui traite l’héroïne de « féminazie » durant son enquête.
Même les éditeurs japonais, pourtant peu concernés par les débats jusqu’à présent, commencent à ajuster le tir – quoique très timidement. Capcom, qui communique depuis plusieurs mois sur la sortie en 2016 Street Fighter V et ses combattantes aux formes pulpeuses et aux poses suggestives, a discrètement modifié certains cadrages trop voyeurs dans ses bandes-annonces. Les partisans du GamerGate, comme le site NicheGamer, ont aussitôt dénoncé une « censure ».
Tecmo Koei, un autre éditeur japonais de jeux de combat, a quant à lui annoncé que Dead or Alive Xtreme 3, avec ses héroïnes siliconées, ne sortirait pas en Occident. Dans un message Facebook relayé par Metro (et depuis effacé), l’éditeur s’en explique de manière allusive :
William Audureau
Lien vers l'article :
http://www.lemonde.fr/pixels/article/2015/12/30/la-feminisation-des-jeux-video_4839834_4408996.html
Ils pensaient faire reculer les idéaux féministes. Raté. Plus d’un an après la polémique du « GamerGate », la question du sexisme des gamers n’a jamais été aussi souvent posée, et les femmes jamais autant mises en avant dans la production.
Le mouvement du GamerGate est né aux Etats-Unis à l’été 2014. Une développeuse indépendante, Zoe Quinn, subit alors une violente campagne de harcèlement, après que son ex-compagnon révèle sa relation avec un journaliste ayant écrit sur son jeu. La presse spécialisée, accusée de collusion, prend la défense de la développeuse et dénonce la misogynie du milieu gamer et de l’industrie des jeux vidéo. « Les gamers n’ont pas à être votre public. Les gamers sont morts », proclamait le 28 août 2014 la journaliste Leigh Alexander, suscitant une vaste levée de bouclier de joueurs vexés, réunis sous l’étiquette « GamerGate ».Castings ouverts aux héroïnes
En 2015, non seulement les idées féministes ont progressé dans le milieu geek, mais même les grosses cylindrées de l’industrie (Assassin’s Creed Syndicate, Call of Duty : Black Ops 3 et FIFA 16) se sont engagées sur la voie de la parité, fût-ce de manière encore embryonnaire. La superproduction annuelle d’Ubisoft, Assassin’s Creed, propose pour la première fois dechoisir entre un héros et une héroïne."Assassin's Creed Syndicate", neuvième épisode de la série d'Ubisoft, propose pour la première fois un casting paritaire. ASSASSIN'S CREED SYNDICATE
Le jeu de tir d’Activision (Call of Duty) permet également d’incarner une femme soldat, même si celle-ci n’est pas visible (vue subjective oblige), que des erreurs d’accord persistent dans les textes et que l’écriture reste stéréotypée. Interrogé par IGN, Jason Blundell, directeur du mode scénario, se justifie par une pirouette cinématographique.
La simulation de football de référence du marché, FIFA, a également franchi le pas. Deux mois après la coupe du monde auCanada, l’épisode FIFA 16 a introduit pour la première fois des sélections féminines dans un jeu vidéo de football. « On sait que certaines personnes ne vont pas apprécier, c’est une prise de risque, mais l’innovation n’est que ça », assumait Sebastian Enrique, le producteur du jeu, interrogé en juin par Le Monde.« Ce qui est intéressant, c’est que le film “Alien” a en fait été écrit pour un homme, mais ils ont enrôlé Sigourney Weaver et ont juste laissé le script en l’état. C’est pourquoi elle s’avère un personnage aussi fort et confiant. Donc nous avons fait de même – nous avons écrit un script de manière neutre et l’acteur y apporte sa personnalité et son sexe… mais cela ne s’y plie pas complètement non plus. »
L’influence de Bioware
Si la sortie de ces trois jeux s’inscrit dans l’après-GamerGate, leur développement a en réalité débuté bien avant – vers 2012-2013 pour la plupart. « Il y a deux ans et demi, nous avons voulu raconter une histoire moderne. Dès le départ, nous savions que nous voulions avoir les jumeaux Jacob et Evie », héros masculin et féminin d’Assassin’s Creed Syndicate, explique François Pelland à GameRant.L’industrie du jeu vidéo évolue depuis le début des années 2010, influencée, notamment, par les vidéos critiques de la blogueuse féministe Anita Sarkeesian et les créations du studio Bioware. Ce dernier est notamment à l’origine de Mass Effect, saga de jeu de rôle space-opera, une des premières à proposer le choix du sexe et de l’orientation sexuelle.
La série Mass Effect, pionnière des représentations progressistes, sera de retour en 2016.MASS EFFECT
« C’est un monde où – en dépit des problèmes avec les Reapers [une race extraterrestre fictive] – ces différents types de relations ou de romances, qu’elles soient gays ou lesbiennes, sont juste traitées comme n’importe quelle autre relation dans cet univers », se félicitait dès 2012 son scénariste principal Mac Walters dans les colonnes du Financial Post. L’un des jeux les plus attendus de 2016, Mass Effect Andromeda, devrait confirmer cette orientation, après un troisième épisode qui avait notamment mis en scène un personnage transsexuel très travaillé.
Résistants contre la parité
Mais cette responsabilisation de la production n’est que partielle, et reste contestée. A l’autre bout du spectre, des opposants à la parité ont continué à se faire entendre en 2015, soit sur Internet, soit à travers des jeux vidéo.Ainsi le 1er avril, en guise de poisson, le studio Destructive Creations accusait sur les réseaux sociaux les « SJW » (« socialjustice warriors », terme péjoratif désignant les journalistes et militants féministes et LGBT) d’avoir porté plainte contre son fondateur pour apologie de la violence. Le studio polonais, auteur de Hatred, n’a jamais caché sa sympathie pour le GamerGate. A sa sortie en juin, son jeu, un simulateur de massacre cynique et antisocial, a été propulsé à la première place des ventes sur la plateforme Steam, essentiellement soutenu par cette même communauté, sous couvert d’une défense jusqu’au-boutiste de la liberté artistique.
Dans Gynophobia, les femmes sont représentées comme des objets interdits ou des monstres fantasmagoriques à éliminer. GYNOPHOBIA
Quoique moins médiatisés, d’autres jeux ont tenté de surfer sur la polémique, à l’image du glauque et confus Gynophobia, jeu de tir à la Doom dans lequel le héros, pour guérir de sa peur de l’autre sexe, doit abattre dans son cauchemar femmes zombies et femmes araignées… avant de se réveiller, dans un final accablant de médiocrité, auprès d’une femme à forte poitrine pour symboliser sa guérison.
« Quand j’ai décidé de faire Gynophobia, j’étais bien conscient que le thème était provocateur, mais j’aimais tellement l’idée que j’ai décidé de le réaliser quand même. […] Je suis favorable à la liberté d’expression, et j’estime que celle-ci doit inclure la liberté d’offenser », explique par courriel au Monde son auteur, le jeune Ukrainien Andrii Vintsevych, reprenant à son compte un argumentaire classique des antiféministes, tout en se défendant de toute misogynie :
Le titre est toutefois passé inaperçu, comme la plupart des productions attachées au GamerGate. Selon une récente étude, 49 % des Américains jouent, mais seuls 10 % se définissent comme « gamers ». Et à en croire les débats en ligne, seule une frange de ces 10 % se reconnaît dans le combat politique du mouvement.« La femme aux gros seins dans la première version, c’était à cause d’une limitation de budget, j’avais trouvé ce modèle tout fait. Depuis je l’ai refait avec une femme aux seins normaux. »
Une nouvelle génération d’héroïnes
A l’inverse, l’année 2015 a été marquée par une nouvelle génération d’héroïnes. Les plus intéressantes émanent non pas des grands éditeurs, mais d’équipes de taille intermédiaire, comme Telltale Games (The Walking Dead). Le studio a cosigné Tales of the Borderlands, une série interactive à l’humour ravageur, qui n’oublie pas de respecter la parité. L’aventure est contée tour à tour du point de vue du héros et de l’héroïne, un modèle de femme indépendante et entreprenante, qui contraste par ailleurs avec la vanité du protagoniste masculin, Rhys.Fiona, un des deux personnages principaux de "Tales of the Borderlands", incarne un nouveau modèle d'héroïne, indépendante et éloignée des clichés masculins. TALES OF THE BORDERLANDS
La question s’était déjà posée chez Gearbox à l’occasion du développement de Borderlands – The Pre-Sequels (jeu de tir).« J’avais été irrité par le déséquilibre homme-femme, et tout le monde dans l’équipe s’était accordé pour dire qu’il nous fallait une héroïne supplémentaire », expliquait-il fin 2014 au site féministe The Marysue.
Battant en brèche les représentations hypersexuées de Lara Croft (Tomb Raider) ou de Samus Aran (Metroid) en petite culotte, le jeu d’aventure français Life is Strange a même créé une héroïne humaine et rêveuse, Maxine, pétrie d’interrogations communes. Une orientation scénaristique qui avait été choisie avant l’explosion du GamerGate, assure le studio parisien à son origine, Dontnod Entertainment.
"Life is Strange", jeu d'enquête dans un campus californien, met en scène des jeunes femmes plus proches du cinéma américain indépendant que des caricatures hollywoodiennes. LIFE IS STRANGE
« On ne se pose pas la question pour un livre ou un film. J’ai trouvé ce débat vraiment déplacé. Quelle est la meilleure façon de raconter une histoire ? Pour nous, c’était Maxine », exposait Raoul Barbet, coréalisateur du jeu, interrogé par Le Monde en début d’année. Ce qui n’empêche pas le titre d’évoquer le sexisme sur les campus, et l’antiféminisme chez les jeunes – à l’image de ce numéro anonyme qui traite l’héroïne de « féminazie » durant son enquête.
La réaction des éditeurs japonais
Bien sûr, ces titres ne représentent qu’une partie de la production. Et le très « girlie » La Nouvelle Maison du style 2, meilleure vente de Noël sur consoles portables, s’apparente plus à un hoquet de l’histoire, huit ans après la mode de la Nintendo DS et des innombrables jeux de poneys, mode, et coiffure au marketing caricatural.Même les éditeurs japonais, pourtant peu concernés par les débats jusqu’à présent, commencent à ajuster le tir – quoique très timidement. Capcom, qui communique depuis plusieurs mois sur la sortie en 2016 Street Fighter V et ses combattantes aux formes pulpeuses et aux poses suggestives, a discrètement modifié certains cadrages trop voyeurs dans ses bandes-annonces. Les partisans du GamerGate, comme le site NicheGamer, ont aussitôt dénoncé une « censure ».
Tecmo Koei, un autre éditeur japonais de jeux de combat, a quant à lui annoncé que Dead or Alive Xtreme 3, avec ses héroïnes siliconées, ne sortirait pas en Occident. Dans un message Facebook relayé par Metro (et depuis effacé), l’éditeur s’en explique de manière allusive :
Dead or Alive Xtreme 3 devait permettre de participer à des jeux de plein air (beach volley, cerceau, tir à la corde au-dessus d’une piscine…) en maniant des jeunes femmes en bikini.« Vous connaissez les nombreux problèmes actuels de l’industrie du jeu vidéo vis-à-vis du traitement des femmes ? Nous ne voulons pas en parler ici. Mais assurément nous en avons rencontrés ces deux dernières années pour en arriver à notre décision. »
William Audureau
Lien vers l'article :
http://www.lemonde.fr/pixels/article/2015/12/30/la-feminisation-des-jeux-video_4839834_4408996.html
CPC6128- Patient incurable
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Re: Les jeux vidéo se féminisent... partiellement
super chronique en tout cas
Mais de nos jours est -il encore nécessaire de militer sur l'égalité des sexes a travers le jeu vidéo ?
Mais de nos jours est -il encore nécessaire de militer sur l'égalité des sexes a travers le jeu vidéo ?
tilou- Interne
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Re: Les jeux vidéo se féminisent... partiellement
c'est tout à fait logique, il faut désormais toucher 100% de la population... et non plus les "mecs gamer"
_______________________________________________________
Re: Les jeux vidéo se féminisent... partiellement
Resident evil en 1996 proposait deja de choisir entre un heros et une heroine....
nahnomercy- Guéri miraculeux
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Re: Les jeux vidéo se féminisent... partiellement
Article intéressant et qui a été écrit par un journaliste de JV et non par un mec qui n'y connait rien
mateo- Docteur *
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Date d'inscription : 21/04/2005
Re: Les jeux vidéo se féminisent... partiellement
Allez je lance la polémique du nouvel an
Fifa 16
Assassin’s Creed Syndicate
Call of Duty : Black Ops 3
En voyant ces photos, je me demande si ça n’est pas plutôt les personnages féminins qui se virilisent, plutôt que les jeux qui se féminisent
D’ailleurs, ça m’étonnerait que la part de joueuses qui achètent ces jeux soit significative…
Fifa 16
Assassin’s Creed Syndicate
Call of Duty : Black Ops 3
En voyant ces photos, je me demande si ça n’est pas plutôt les personnages féminins qui se virilisent, plutôt que les jeux qui se féminisent
D’ailleurs, ça m’étonnerait que la part de joueuses qui achètent ces jeux soit significative…
CPC6128- Patient incurable
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Localisation : Vendée
Date d'inscription : 12/09/2013
Re: Les jeux vidéo se féminisent... partiellement
En tout cas il est clair que les jeux se sexualisent quand on voit les derniers Dead or Alive
*Sciel*- REVENDEUR
- Nombre de messages : 598
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Localisation : Gard (30)
Date d'inscription : 25/12/2015
Re: Les jeux vidéo se féminisent... partiellement
Le nombre de femme qui achète des jeux 3DS , DS (occas), PSP (occas) et PSP aux Japon est hallucinant. Tout ce qui est Novel (et il y en a la pelle sur ces consoles) elle sont quand meme le public cible par excellence.
SofienFukuoka- Patient contaminé
- Nombre de messages : 127
Age : 46
Localisation : Fukuoka
Date d'inscription : 14/07/2015
Re: Les jeux vidéo se féminisent... partiellement
ca se voit clairement avec le design des personnages mis en scene...
C'est meme plus de la feminisation... on dirait que les jeux s'adressent à des enfants de 4 ans.....
C'est meme plus de la feminisation... on dirait que les jeux s'adressent à des enfants de 4 ans.....
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